Alors que les chants du printemps résonnent
Que doucement la nature bourdonne
Ton regard, ton sourire et ton énergie
Emplissent mon cœur de vie.
Mes douleurs ne deviennent que d'amers souvenirs
S'estompant pour laisser place à l'avenir.
Mon passé ne s'impose plus
Et semble même révolu,
Apaisé, je te confie mes armes
Et t'ouvre timidement mon âme.
C'est une douce révolution qui s'opère
Et rend mon esprit bien plus clair.
Les plus forts ne sont pas ceux qui font chuter
Mais ceux qui, sans relâche, osent se relever.
Olivier Le Gal
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